Près du puits où s'enclose mon drame
Fier halo de lumière rencontre la lame
Laissent l'air nue sous l'obscurité...
Et moi observant ce sourire déjanté
Alors qu'il m'emboite, qu'il m'emporte,
Qu'il m'écarte et m'accompagne
Aux longs cours de ma hargne
Puisque plus rien ne m'importe
Un discret baiser révèlera
Mes premiers désires;
Embraser les restes de cire
Survivre à toi, ce grand cobra
Aucune larmes! Ô, rien de rien
Ou je finirai comme ce chandelier
Qui étouffa sa flamme, ayant oublier
Qu'il pleur son corps, le denier de ses biens