sur le faubourg d'Art Street (entre fleur et biére)

bon, ok c'est pas du théatre, mais tant pis, j'initie et si la place va pas... on déplace.
avant, j'explique :

nous somme, dans la rue pricipale d'art street,
il y a un fleuriste et un bar, un carefours (attention au quelque voiture), et une eglise pas trés loin, vous pourer ajouter deux trois chose si vous avez besoin (mobilier urbain, décoration de noel et autre apartement).

vous êtes... un personage de la scéne.
l'action... se déroule dans le décors prés citer en faisant atention, un perso dans le bar ne parle pas avec un piéton qui traverse la rue ou alors il gueulle ! restons plausible s'il vous plait !

évidement, nous sommes des personages qui on nos speudo OU PAS mais peuvent diférer de ceux qu'ils sont ailleur (ba oui, moi je choisis d'être un garçon et ICI on peu pas me contester vu que c'est un jeu de rôle ! mouahaha).

on fait pas de "fiche de perso" (c'est chiant) mais... on tente de se présenter un minimum, on arrive dans la rue... salut c'est moi !


sa vous va ti ou pas du tout et je retourne me coucher ?

Alors je suis Odela Demo: et je suis une nana qui squatte toujours chez le fleuriste (avec mon avatar en plus ça le fait). Je porte un vieux pullover noir d'un mec que j'ai rencontré la veille, un vieux jean déchiré, et des bottes style chaussure de marche. J'ai des longs cheveux noirs, éparses et un regard flou. J'adore lire des poèmes à mes fleurs!

Je commence (je prends cette liberté)


A l'horizon de nos joies entortillées
Mes mignonnes vous fleurissez
A peine l'aube s'éveille
Que vous sortez mes belles
Un pétale devant l'autre...

Un pétale devant l'autre!!! ...

Hm, je ne trouve plus la suite (pensive, j'observe la route, dépitée)

Dans mon costard trop grand, ma chemise blanche mal rentrée dans mon pantalon noir, j'avance d'un pas nonchaland dans la rue principale, sans me presser, la bruine sur mes cheveux long attacher en queue de cheval. J'ai la démarche assurée et lente, la vie devant moi, je l'invente dans chacun de mes pas !
Je vois une jeune fille errant chez le fleuriste
Je m'arrête devant la deventure et l'observe de l'extérieur, sans faire plus de mouvement que besoin, la bruine perle sur mes cheveux. Il fait bon.

La jeunette après gesticulationss jolie m'observe... tel un animal dans sa cage... et se souvient qu'elle en a la clef, elle sort et me rejoint.
Je la regarde venir à moi sans me raprocher d'elle et je lui adresse la parole.

"Je ne vous avez pas imaginez ainsi, fleur de printemps et de pluie"

Son regard dans le mien me réchauffe et me hante.

"Sachez lire au delà de mes mots, toute les folies que l'amour saient dicter dans sa non chalence croissante. On m'avait dis que vous seriez là, ni comment, ni pourquoi... on ne s'était pas tromper et vous m'en voyez combler. Vous souvenez vous de moi fleur de maux et d'ivresse ?"

Je me hazarde à un sourire léger qui s'envole dans l'attente, il bruine toujours, on est à un mètre l'un de l'autre, et l'on se regarde.

Je le fixe, perdue. Son visage m'interpelle. Quelque part dans un recoin de mon cerveau je sais que la réponse est présente. J'ai peur de la frôler.

"Vous m'êtes inconnus! Je ne connais que les coquelicots et le gerberas, les paquerettes et les tournesols..."

Je mens. A son regard je devine qu'il sait, qu'il a percé mon mensonge avant même qu'il ne sorte de ma bouche. J'entortille das mes mains quelques pétales séchées. Je les laisse s'envoler de ma paume. L'un deux effleure la joue de mon inconnu.

(ps: je trouve que nos deux styles confondus s'harmonisent. C'est un réel plaisir d'écrire avec toi)

je souris de sa légerté, de sa réponse qui n'ose toucher du doigt ce que nous sommes, je ferme les yeux un bref instent au contact du pétale qui me frole sans faire de bruit... Mon regard retombe dans le sien, souriant.

"si vous connaisez les fleurs, autant que vous en êtes une, vous savez tout de moi... je suis tel le lisseron ou le chévreufeuille qui s'enroule autour de la fleur... mes mots son leur maux..."

je continu un peu ma digression, je sais qu'elle sais qui je suis, je lui souris, immobile et rassurer. C'est elle.

je la vois vacciler, je la regarde tenter de résister, son ciel devient gris autant que le mien est bleu, je la ratrape au bors de l'abime, lui sourit.

son coeur bas aussi vite que le mien, elle est la fragilité et la grace, l'ephémére de la fleur couper...

sa larme à rouler invisible sur sa peau, j'en ai sentis l'odeur du sel.

"Mot pour mot, on se retrouve enfin..."

je me tais alors, la soutenant dans ses vertiges d'un passé trop lointain.

Je la regarde se débattre, je la sais éttoufant et je lui sourit.

"non, je... je ne suis ni les uns ni les autres... je suis le cimen qui tiens ensemble les pierres epéchant la fleurs de poussé, je suis... ton ami et ton ennemi, je suis... celui que tu invente, viens, viens... je connais des clairiére ou les fleurs son des sphégne..."