C'est n'est qu'un poèmes que je n'ai pas fini. Il date d'une période où j'expérimentais beaucoup avec la forme et l'imagination de la poésie.
Peut-être pourrez vous remarquez une attitude plus obscure et Baudelarienne.
L'âme est un ballet funèbre
Où la misère et la romance
Sont les intimes compagnons
D'une danse éffrené.
Ici, les mauvais sorts
Coulent d'une volonté amoureuse
Un Melodrame de la chaire commune
Qui sous l'effet d'un baiser
Se déchire et éclate
Vers les sommets malsains,
Le reigne harmonieux
D'une passion étrangler
Oui, les mètres ne sont pas égaux.
Dans ces temps je ne connaissais pas la règle d'élision.