Une douce musique dans la tête,
Berce les pensées de ce poète,
La tête vers le ciel les yeux fermés,
Il rêve d’elle, de son sourire endiablé,
Il se munit de son amie plume,
Gratte la feuille et rêve l’écume,
Comme emporté sur un sillon,
Crescendo d’un air violon,
Transporté, transformé, violenté,
Dans son corps bat ce rythme effréné,
L’inspiration a trouvé un visage,
Et le poète une raison de n’être sage,
De rimer des folies de la vie,
Frissonner sans demander d’avis,
De grands changements pour ce printemps,
Guidés par un souffle ravivant,
Une sirène que j’aime appeler muse,
Pour que s’amusent ces mots qui fusent,
Une source d’inspiration,
D’émotions et de passions,
A retranscrire sur du papier,
A rêver endormi ou éveillé…