les cendres sur son ventre

sur son ventre, les cendres creusèrent des tranchées
de son futur éteins
sur la rive d'ailleurs
là
en creux et hurlement
en cris et renoncement
au bord de la faille
les morts en entassement
elle avait vu un passé qui n'était pas le sien
et depuis
les cendres de sa vie
accumulement de haine
sur son ventre sans âge
marquant sa chair en creux
comme une pause emporter
dans le vent d'un possible
oui
les cendres, sur son ventre, ont creuser des tranchées

J'ai du mal à comprendre ... Si ce n'est que ce poème est triste, mélancolique, avec un arrière fond de douleur aussi, une odeur de chair brûlée ... Mais j'aime bien.

il est en retravaille

je n'arrive pas à se que je veut pour se personnage...
je veut qu'elle soit au dessus d'un charnier
peu importe qu'elle le voie ou l'imagine
je voudrai que le lecteur en soit écœurer par ces mots
mais je n'y arrive pas trop
il n'y a pas d'histoire,
et je n'en veut pas
juste du ressentie...
mais pas facile...

L'inspiration vient plus ou moins facilement lorsque l'on écrit à propos de ce que l'on connait, la dimension du texte qui en ressort en est souvent plus juste et plus communicative.
D'autres fois elle est plus lente à venir lorsque l'on parle de ce que l'on imagine, cette dernière étant une des plus aisées ou des plus dures selon les individus. Peut-ëtre est-ce le cas ici?
Le texte qui en ressort risque de paraitre plus evasif et moins parlant, mais parfois ce flou donne une dimension extraordinairement touchante au texte.
Voilà donc peut-être une aide à ton inspiration lulli





Certains non pas par manque de mots, surtout pas , préfèrent le silence.

D'autres non

Chacun est arbitre de ses actes.

je n'est pas besoin d'image et je l'es connais déjà...
je n'écris pas se que je vois, jamais, presque jamais...

et pour ce texte je n'est que l'image de son ventre encendrer...