La pièce sombre était un havre de paix, on y entrais guider, mue par un désir incompréhensible...
Le sourire au lèvre, une jeune femme à la peau laiteuse et au regard vert nous offrais sa main en guise de bienvenus. A la voir si belle, on ne pouvais que trembler, que l'aimer, que la suivre yeux baisser au sol tant sa nudité était forte. Cette femme à la peau de soie nous laissais entre apercevoir des folies a l'ondulation friser...
Ceux qui y sont entrée, dans se monde de chaleur et d'interdit on vite compris ma douce douleur d'aimer... Elle était celle que mon cerveaux malade avait créé il y a de cela bien des année de solitude. Elle me précédais, elle précédais tout ceux qu'elle accueillais, changeant juste d'apparence... de mots, de sourire...
Elle m'accueillit un mardi du mois d'avril. Il faisait encore froid au dehors et la pluies avait humidifier tout les recoin de mes vêtement, sans un mots, elle avait pris ma main, et je regardais son dos, la chute de ses reins, sa cambrure, ces cheveux roux qui tombais sur ses épaules, mal peigner, comme après une nuit trop courte... ces fesses un peu trop larges, sa peau un peu trop clair... je me décidais à rompre le silence, à l'interpellez... Elle répondais à tout sans jamais se retourner, m'emmenant de pièce en pièce. Je n'apprit rien que je ne savait pas, elle est notre plus beau fantasme, notre plus grand désir, la douceur de la folie qui l'entour fait d'elle se que notre esprits veut... si j'avais oser, je l'aurais transformer à l'instant même, je lui aurais rendu les cheveux noir de jais de ma première femme, je lui aurait refiler les fesse de Véronique si fine et ferme, j'aurais... mais je l'aimais déjà et je la voulais tel qu'elle était, là, maintenant, dans se couloir hostère et chaud ou mes vêtements me dérangeais...
Elle se tournant enfin vers moi, et me sourit d'un sourire que je ne lui connaissait pas encore, enflammant mes délires... sa voix se fit un peu plus froide où alors c'est moi qui ne la percevais déjà plus du même oeil...
Lucie, Lucie, in the sky sans diamant se penchait sur moi et me susurrais à l'oreille : "tu est ici chez toi... les portes son des mondes, tout est possible, tout... ton imagination me fis être et ne s'arrêtera pas là... Je ne suis qu'une passante, passagère du vent et je t'aime autant que tu me désir... écoute tes mots que je te redis... oui, ceux que la nuit tu m'apprit..."
Je lui souriait à mon tour, Lucie... ma toute jeune Lucie au dessin si doux... Ma Lucie, celle que j'avais voulus rencontrer... là... dans mes bras, tout contre moi, sa respiration dans mon cou, ces lèvres.... je sourit au miroir qui nous observais et je la couchais sur le dos, lentement...
Puisque j'était là pour l'éternité, j'avais bien le temps...
elle s'endormis sans un bruit
La chambre paraissait s'écraser sous les étoffes lourdes, aux grands plis noirs. De nouveau, dans le couloir, une porte battit, hésitante, lente. Je venais de refermez une partie de mon monde, celui des regrets, et je me couchais contre elle la rejoignant au pays de Morphée.