Marie avait un sac, lulli un post.

pas mal ?
mais si ! c'est mal
mal de jambes
mal à l'être
mal d'être sans doute aussi
oui, c'est mal
de divagué sur larme d'acier
d'encrassé le non dit
de hurler dans le vide
je fait mal
la cuisine
et c'est mal
je persiste et signe
je fait le mal pour le bien
je me plante
j'ai mal
sa te fait mal
mal à l'âme
lame aigissé
c'est mal
mais que s'est bon !

j'adore tes pensée.C'est un réel plaisir de les lire et relire.

tu lis
relis
rerelis
des mots que ton regard use
à la corde
à l'os
pompeux de trop de mots
qui s'éclatte
et se perde
prés de ton oreil
tu lis à la lie
écoeurant manége
de tes yeux sur ces lignes
rompus
corompus par trop de désir
malsain
malaisé
toujours, pour toujours
je suis.
et je préférerais ne pas.

j'ai des mots
des peleter de mots
qui s'amoncellent
qui monticules
comme autant de désir
insatiable et indolors
juste de quoi
brin d'amertume en bout de langue
jolie mélancolie
folie douce-piment
tu sais...
tu n'est que l'heure qui passe
qui coule entre mes mains
il est tard déjà
trop tard
oui...
j'avais des rêves
des mots par moticule blond-roux
qui s'amoncelllait en désir de chair
et puis le temps à couler
ne laissant que le gout,
amertume douce-piment
d'une mélancolie de vie.

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j'ai envie de m'épancher
d'ouvrir ma pance grasse
de la possé là, à vos pieds dégouté
de hurler que oui, je suis cela
et de murmurer que je suis aussi autre chose
j'avais envie de vous dire,
à vous, âmes en perditions,
qu'à minuit 41
il ne faut plus m'écouter
fermer vos paupiéres
je ne suis ni celle ci
ni celle là
tout danse, ne le voyez vous pas ?

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et pour conclure, parcequ'il faut conclure. Finir, boucler, le chiffre trois est le plus beau. Ainsi ce troisiéme bout de texte, improvisation de mots qui s'emmêlent, serra, est, ma conclusion pour se soir, qui touche pour moi à sa fin, certe, je me doit, avant l'aurevoir-à-demain-je-vous-souhaite-de-beau-rêve juste vous dire merci.

je peu plus pensé
comment ?
l'oubli est t'il permis ?
non, jamais

-de toute façon tes pensées prennent l'eau
-pff, tu peu parlez, toi c'est tes amours qui coulent
-chaqu'un ces merdes
-oui, bas, au moins, je flottaison
-t'entre deux eaux oui
-je frole pas le fond
-non, sa, tu passera pas sous un train
-et ouai, j'aime pas trop l'idée
-moi, je passerai dans l'journal
-c'est ton nouveau but ?
-non, mais sa pourait l'faire...
-la gloire en nécrologie
-mieu que toi, moi, sa serra en beautée
-on aurra tout entendu...
-oui ! suicide en beautée, derniére oeuvre d'art
-tu t'la péte hein ?
-forcément, j'écris mieu que toi
-oh vraiment ?
-certainement oui, moi on me publiera
-moua, la classe, être publier par les éditions régional...
-au moins sa s'ra pas pour Mariane
-hey ! sa suffit ! c'est moi qui pense
-certe mais c'est moi qui aime
-sans toi je s'rai mieu
-sans toi... je serrai belle
-je me casse
-tu sais bien tu peu pas
-ah oui ?
-bas, oui, tu m'aime
-tu pense ?

Orthograaaaaaaphe +_+
Mais putain j'adore ce dialogue... Ca m'fait un peu penser a moi XD

Mam'zelle Necrow a écrit:

Orthograaaaaaaphe +_+

en orthographe, j'ai toujours bon, pas la peine de tergiversé, j'écris pas en français... en orthographe, grammaire et autre mots, j'écris comme il faut, la seule façon qui soit valable pour moi, par moi. Imaginons du lulli sans fautes, non, c'est plus du lulli, c'est du français. Ô ennui, Ô dérition ! du français à la place du lulli... non, soyons raisonable, j'écris, avec l'orthographe corecte de ma détraquitude, et puisque vous me comprenez c'est que vous ête un brin, détraquer aussi.
Ainsi soit i et dieu pour lulli only.

j'avais pas lu tes dernière pensées sote que je suis! j'aime bien cette façon d'écrire et je me retrouve dans ma façon de penser.

-t'es mal barre !
-sa se dit pas sa !
-pff, si je me taisait tout l'temps sa serrai ennyeux
-tu veut la vexer ?
-on vexe pas une exeption
-sauf quand elle de vie
-tais toi ! t'es grosiére
-c'est toi qui l'dis ?
-oui, exeptiothelife elle...
-vaut mieu que toi
-puta !

30 ans, deux enfant, mariée, informaticien, déprimer, cherche amour.
37ans, un mome, une femme et une ex, une belle mère, cherche amour.
31 ans, marié sans enfant, carreleur, cherche amour.

que choisir ? hum...

Le carreleur il assure...

je te choisi oh toi le carreleur
quand enfin de mon coeur
s'élevera la sentense
ô mon tendre, mon espérance
je te le dirai tant et plus
je fermerai la chage, je t'es eu
bel oiseau tu devra des lors
observer les abords
de se terrai vague pousseux
moi, je choisir un prince
et je danserai à ta santé
je danserai !

l'amour sa peu se choisir
pour sa, suffit d'avoir un coeur trop grand
évidement, si on en aime plusieur
on à un choix à faire (ou pas)
de plus careleur ou autre n'existe pas
il sont le fruit de mes pensées
et s'évapore déjà bien vite...
quand à l'âme soeur
j'ai droit d'en rire
son âme est ma soeur
jusqu'au divorce
'je m'était tromper'
non, sérieusement,
amour et toujours ne rime plus ensemble...
je n'y crois plus
je n'y crois pas...
et si jamais, je trouvais ma pantouffle de vaire
soyez bien sur que je furai sur son cheval...
non, ni de prince, ni de rêve
pas d'Amour et de promesse
juste un désir de tendresse
un peu de calme au fond du verre
un sourire et de l'amitié
oui, le plus bel amour
c'est d'être ami
à vie et au lit

ça faisait longtemps que je ne m'étais plus plongée dans les pensées de Lulli.
hi hi. Trop space.

Vi à vivi
space est l'espace
tout s'étire tu sais ?
plonge, tête dernière
on s'est jamais dans quoi on
tombe
parrait qu'il fait beau
moi je trouve sa laid
le soleil et la chaleur
sur le fond de ma... paleur !
et oui je rime des fois
comme sa, parfois ?
elles sont facile
et malhabile
évidement !
épicuriénnement !
et hop là boum
je laisse tout repartire
vie vivi
oui, vivivi
sa vivotte
sous ma glotte
sa gargouille
j'aime sa
la pierre sous mes pas




il faut partit un jour
à l'improviste
petit cailloux que l'on oublis
rompre le fil d'Arianne en pleur
et s'en allez, seul sur la route
il faut fuir un matin
comme si notre vie en dépendait
prendre ces clic,
laisser ces claque
et parcourir du pays
sa s'appelle vive
crie les aventurier
sa s'appelle fuir
focifére les bien pensant
c'est errer
moi je le dis...





il est des matins étrange
il est 16h38
se matin là
j'ai chaud de partout
je me liquéfie pas encore
sa viendra
suffit d'attendre.

je grave de silence le temps
je laisse s'échaper mes pensée
la digue craque
le dingue dongue retentis dans mon crane
silence !!!
le ciel se voile encore
j'ai des choses à faire, des choses
et puis quoi ?
sans digue, je divague
sur la vague d'où l'eau est solide
parait qu'il faut s'accrocher
mais à quoi ?
je m'autoagripe, main dans le dos
je flotte, bouchon de liége
je coule sans doute
mais au fond il n'y a rien

Là je reste sans voix. J'adore ce que tu viens d'écrire.

Compliqué mais délicieux..

complication enrouler autour du roulot à patiserie
tire le fil qui dépasse
tout s'éfiloche..
attention tu complique tout
toujours tout
pourquoi ?
faire simple est difficile
alors je file et mots.

filer
file à lié
à lié
le fou en file à rompre
rompre, cassé
filin fin
finesse rompu
cassé, cassé le file à retordre
le linge fil à tordre rompre
oui, filer
le fil
à lié
rompre
cassé le fil et rompre lalié
crissé et cassé
sur fil funambuler
casser au sol
linge rompu

J'ai perdu le fil.
Les fils s'en sont allés.

découdre le fil de ces idées rompu
ne pas pensé à eux, ne pas pensé à lui
juste à découdre, déffaire, démentibuler

Je n'ai jamais été bonne au tricot. D'ailleurs je ne suis encore jamais arrivée à tricoter. Mes fils se sont toujours emmêlés, dans leurs pelotes à peine déballées

gifle, griffe ma peau blanche
à la mine de graphite
écris, en rouge sur blanc, la haine
à fleur de sang
fleur de peine
sur bile et stylo bille qui vrille
peau sur peau
le rayer, l'effacer
l'arracher, le vomir
griffe, gifle, à sang, à peine !
perdu.


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état d'espris du jour : mal de coeur et vague à larme...


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croire et puis boire, perdre et se taire, être pour paraître, j'ai cru que mais non, même pas était dupe, juste dupé et encore, en le sachant, la vie est une longue comédie qui finis mal et seule, autant la faire durer dans les ténèbres obscure, scheakespear me revient plus que molière, plus de mort et de haine de dévouement et de rictus. j'aime à mourir mon ridicule, d'ailleur j'assume ma désillusion, on ne change pas, on ne change pas, c'est juste la fleur du mal ou bleu qui fane trop vite en béton dur. j'ai froid se soir, froid et trop chaud, mal de coeur, mal d'ivresse, j'avais voulut, il ne faut pas, la couteau dans la plais, j'ai mal à l'âme et vague à larme, sans peur ni trêve, je fuis, je suis, et je m'égare, je pense à ne pas dire, ne pas écrire, ne pas savoir, ni vouloir, se perdre à plus de cinq heure,c 'est inhumain, morphée est un salauds, il me lâche le jour ou faut pas, il a bien raison de s'amusé un peu, le pouvoir sert à sa, je ne suis qu'un vieux pantin de chiffon au coeur de coton en lambeau qui gît sur le bas coté, putain, je suis qu'une conne et si vous le saviez pas, c'est fait, détester moi plus que de raison, sa ne serra que justice, je ne m'aime pas se soir, je ne mérite pas d'égard, rien de rien, à peine un os pour jouer avec, un peu de pitié pour le chien galeux que je suis, franchement, je suis pitoyable, l'apitoiement est le pire, je me hais en cette instant précis, me dissous me dissolu mais merde j'avais besoin d'y croire ! mais merde j'avais besoin de m'y perdre, de souffrir encore, de rie, de me moquer de moi, d'être ridicule, d 'assumer, de pleurer, je pleur sur ma bêtise, dotant que je le savais, une fois, il était, et puis sans va.