Marie avait un sac, lulli un post.

J'ai envie de te consoler.

J'en reste sans voix.

oulala, j'avais oublier de passé par ici
passera par là

la condition est la même, j'ai était con au point d'y croire, mais être con n'a aucune importance, je ne regrette rien, rien de rien...

C'est fini apparemment.

oui, oui, fini fini fini !
je part pour brest... les cours reprénne le 4septembre... je part en voyage universitaire le 5... pas de quoi trainer, tranayer, rougoiyer.

fini ? jamais de la vie ! sa n'est qu'un début... vers le bretagne, plein cap ! héhé

oublie pas de me prevenir quand tu passes sur mon coin alors... kiss

tu as raison tout n'est qu'un eternel commencement!

je passerai... bien... le premier samedi d'octobre ou alors le vendredi et je dort chez toi, si sa t'es possible... enfin voilà. sinon, on verra...

pour le dodo le vendredi ca va étr difficile je serai en plein cartons.. pas trop de place mais le samedi y'a pas de pb...kiss

j'ai eu mal au genoux
mal, mal, mal
et puis, ils ont bien voulut tenter de me porter
"la chaisse"
à deux géant...
l'un des deux -françois si mes souvenir sont bon
à osé me dire que j'était plus lourde qu'un 7-8ans
il avait plus que raison... j'en fait deux voir trois !
et puis dans la monter chui tomber
on a bien rigoler
et je lui est pris le bras (sont épaule est trop haute)
pour allez à la sale des fêtes
c'était bien sympatique tout sa.

le lendemenain, ils sont partie en rendoner
(parcourant l'ile en tout sens)
moi je suis juste allez les rejoindre au phare (en une heure trente au lieu de trente minute)
pour déjeuner
puis en rentrant je me suis baigner !
j'ai même bronzouiller
un peu. beaucoup. bruller aussi.
les poignets.

on était 70, le dernier jour...
j'en pouvais plus !
70, 5douches, 3wc...
l'horeur !!
à plus de 22dans mon baraquement
pas beaucoup dormis...

le car est tro petit pour les jambe même d'une naine comme moi.
on était trop nombreux pour le car
il y avait trois voiture en plus.

l'ile de batz est jolie
roscoff aussi
mais le plus beau sa a été Saint Pol de Léon...
avec sa cathédrale-églyse et autre lieu de culte...

aujourd'hui je vais m'acheter un écran d'ordi et des baffle.

je passe
pas longtemps
je survole
vole d'avions
je suis...
mais je ne le pense plus
j'aire
d'état en état
de cours en cours
je ris et je me crispe
j'ai mal
où ? où ?
là.
bàs.
en bas de l'échelle
sur la pente
mauvaise
fait pas chaud par ici
grégaire
l'espèce est grégaire
je ne comprend pas
corporation, grégaire
en groupe serrer et rang
l'oignon sa fait pleurer
et je me sens pas à l'aise
dans mes genoux
douleur de
j'aime pas les groupes
j'aime pas mes genoux
heureusement qu'on s'en moque
je vais à la clinique, lundi
les examens en vu de...


voilà
c'était l'état d'esprit de lulli
aussi inintéressant que ça
elle vous salut bien bas.

tiends nous au courant pour tes genoux j'éspère que ça va aller.

Oui j'espere aussi que ca va aller mieux.

on pensera a toi miss!

biz

merci

ce soir, j'ai mal
mon studiot à encore des soucis, je déménage cette nuit
des probléme de paperasse
pfffff
j'ai mal au genoux
c'est balot
c'est con
sa donne rien de bon,
juste une envie qu'on m'embrasse
là,
doucement
mais sans désence.
ouai, je sais,
j'ai pas trouver d'embrasseur
(pourtant j'ai une bouche dont je suis fiére et qui me valu certain surnom de... bouche à pipe, passont)
et j'ai toujours mal au genoux
alors je lance un appel

si vous pouvez régler mes soucis de genoux taper un
si vous êtes prés à m'embrasser (femme ou homme ou autre,je suis pas sectaire pour un baisé, sa engage à rien si ?) taper deux et venez me voir.

J'veux bien taper 2 mais j'aurais du mal a venir te voir

sa faisait lontemps alors j'en met plusieur là d'un coup hop la,
et puis Necrow qui à taper deux est mal barrer, maintenant elle me doit un baisé langoureux... gniark.

--

en fumé le bar
en fumé à la pomme d'adan
y'a du Michaux en fond sonor
"fourmi aussi saucisses non plus farines,
partie narajo, ni plus triste ni cher faisan;
des aïeux, des aïeux, que sont sortis ces temps;
chercher, courir, les gober de bas en l'air,
terre!
terre! terre! touffés ceux qu'il vous donne.
touffés, vous dis-je,
touffés les leurs des leurs qui sont les vôtres,
et souffre lui ranis de son sang."
sa tournois et sa flic floc
goutte d'eau instable
qui s'amoncelle comme autant de corps
de femme
mollent et inerte
qui veulent
ne peuvent...
le bar vrille...
brillant concert atone
je t'aimai, je t'aimai
un verre d'eau bien frapper bar man de mon coeur
je t'aimai, je t'aimai
un peu de rêve fumeur de peine
je ne suis plus
M. est mon maitre
et je ne suis rien.


---

et non
et oui
connu ?
reconnu ?
tut e souvient la valse...
"on s'est connu on c'est reconu..."
mais non
perdu de vue dis le chanson
perdu dans un tourbillons
tu te souvient ?
un deux trois un deux trois
vice le versant d'un autre coté obscure
je ne te connais pas
ne te connaitrai pas
je ne connais même pas ma mère
je me connais à peine
juste par l'obligation de... de... vivre avec soi même
en boucle d'oreille
non,
oui,
je ne te connaitrai jamais
non
tu ne me connais pas
et la lumiére vasille
tu te souvient de ta main sur mon cou ?
de ma main sur ta taille ?
de ta voix dans le creux de mon oreille ?
de ta robe d'été ?
de ma veste gris taupe ?
viceversa...
te souvient tu de moi ?
je me souvient.

---

toujours enrubaner sans soie, perdu entre deux flot de mouchoir PQ new génération (trois épaisseur pour plus de douceur) mon nez à sang, rougis, pellé, une beautée, digne de faire palir cléopatra la Bellisime ! Les nezs trop célébers finise mal, le mien est petit et retroucer pour vir les cieux un peu mieu, heureusement 'il fut plus grand sa aurrai finit en complot, soit une buche soit un serpent, quoiqu'il en soit, je garde mon sein blanc pour d'autre morsure, et mon nez rouge aussi.
j'ai des bout de tirade en miriade sous les yeux... a croire que de voir le film sa m'a remis le texte en place, la tirade si grandilocante qui résone sur font de scéne. I remember when I was Cyrano - sans le nez - sur l table d'une salle de classe, un atelier dis de théâtre. pathétique, pas térrible etcaetéra.

pourquoi je vous causse de ces bétise en pied de nez ? ah, oui, c'est vrais, étant granvement malade, je vais en cours, bientôt, je vous salut entre deux éternubent, bien sur !

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inhumaine condition
non désir et friandise
mais alors,
c'est où le futur ?
au loin, il ne fait que passé
son manteau frole ma désilution
me brulant, me brulant

Si l'errance avait un nom...
se nomerait'elle lulli ?
Si d'errance en rancune j'allais
lulli mirait il mieu ?
tout se froisse et se perd...
en socio on m'a dit :
la socialisation à deux contraite
-se que l'on veut être et
-l'image qu'on nous renvois
et pour vous, suis-je celui que je pense ?
pensez vous que je soi celle qui vous parle ?
mentir est-ce être ?
se mentir est-mourir ?
la question nous fait toujours rebondir
à l'infinie de l'errance
je me terre ence instable de la mélancolie
qui est-ce ?
l'autre est moi, miroir instable
il fait froid quand j'ai chaud
l'inverse aussi sans doute
fiévre et amer
tu me dirra, toi, qui je suis ?

j'adore toujours autant

adoration

à mes pieds ils se jettent
elles aussi, s'accroche à mes genoux
tendant leur lévres parfaites
soupirants au creux de mon oreils
hurlant leur adulation
aduler, aciduler
il acide ma vie
j't'adore, j't'adore !
ah ! la paix !
je marche yeux clos dans la pénombre
mon ombres s'étire de tout ses fous qui s'amoncelle
je n'y prete pas attention mais je pris
oui ! qu'il arrête de m'adorer !
a la rigueur qu'il m'adule !
qu'il m mette sur pied d'estale
qu'il vénére mon image figer
qu'ils érige des statu ! pardieu !
qu'ils soit fou, mais pas en ma présence
que le silence ce fase
que ces fantomes s'écrassent contre ma folie
que le calme enfin...
que... je... vive ! seul et beau
enfin, droit comme un i dans la pénombre
leur adoration à fleur de regard
que j'entre ouvre mes yeux
et que je leur murmure
"je vous aimaient mieu avant"
avant de repartir dans mes silences...

j'ai perdu ma mémoire
je l'avais déposé là
à l'ombre de mon saule pleureur
qui pleurais pleurais pleurais
déversant des torant d'eau dans le petit étang
qui fini par déborder
emportant ma mémoire dans son onde !
j'ai crier, j'ai chercher
j'ai même nager
mais la mémoire coule tant elle est pleine de chose inutile
elle coule au fond de l'étang
coule, coule, les poissons ne veulent pas de mon marcher
alors je saute, je tente
mais le saule pleur toujours
mais le saule pleure encore
et le courant trop fort
me rejette sur la rive
et j'échous
je m'échoux
en baleine d'eau saline
sur le banc de terre fine
prés du nid de canard
et je cris
et je pleur
en ma mémoire perdu !
et je cris et je rit !
j'ait out à réinventer
et je me met au travaille
réinventant mon monde
recréant mon passé
ici un saule
la un étang
au fond de l'eau mon passer
et sur la berge
mon futur
que je déssine à fleur de terre
à fleur de peau
à fleur de... peur !

ahhh!!
j'aime trop!!

oué bien sympas

j'avais des rêves accrocher aux étoiles
et des miriades de désir
pour alourdir la lune et la rendre plus ronde
tout à dégringoler
à la fin de l'été
en un croissant de lune
qui disparu au loin..
mes désir furent à l'eau
mes rêves on chavirer
et depuis lor encore
je pleur et je me récris
ausecours, je n'veut plus
os court, je suis pardu !
et le temps bleu à bleu
efface mes mots d'absences

un journal non daté, non chiffrer pas même imprimer sur un mauvais papier avec une encre qui tache les doigts, un journal ? non, sa ne devrai en aucun cas porter se nom là, un journal c'est pour les grands, ceux qui ont des plumes à rémurations. Non, sa n'est pas un journal qui finira au feu de bois de la maison de Belle-Isle-en-Mer. Non, vraiment, n'insistez pas, cela n'est même pas un journal intime, il est à la vu de tous, il n'est surtout pas un journal de bord... je n'est pas pour l'heure le coeur au bord des lèvres, la main dans l'eau non plus.
je ne suis pas fou, la folie est une maladie. Je ne suis pas malade, non, sa, c'est certain, d'ailleurs si l'était fou, je ne serrait pas dans mon studio blanc avec vu sur la mort. Je suis même pas de longue durée, je n'est pas assez vécu pour me dire vieille, quoique, si je mourais demain, j'aurais était vieillarde aujourd'hui !
oui, se titre devrai être changer mais à quoi bon ?

à quoi bon se fatigué à chercher un titre potable alors que de toute façon j'arriverais à vous dire qu'il ne vaut pas un copec et qu'il faudrai le changer ? non, vraiment, rien que cette idée me fatigue.

pour information et pour l'heure sachez qu'aillant un connaissance intime de mon anatomie ET de la langue française mes accors à mon encontre sont toujours ceux qui me convienne. bien sur, si cela vous trouble vous pouvez me demander pourquoi je suis fou plutôt que beau.


d'ailleurs mettons une régle de suite, ici, vous avez le droit de réagir, de divaguer, de vous laisser entrainer ou de remonter à contre courant... quoiqu'il en soit, se lieu intimococasien est malgrés tout de partage et mon vrai journal intime de petite fille que j'ai garder, est là, prés de moi, quelque part dans le bordel qu'est ma chambre...










LE DEBUT
LE MILIEU
LA FIN
LA SUITE
LE VIDE

sa serrait bien ? sauf que je ne sais pas organiser mes pensées, et non, elles vaque lentement à leurs occupations... et ma fois je les suis de loin voir vers ou elle vont, les rattrapant parfois, les oubliant souvent, les laissant fuir enfin...

se soir, j'en tiens une entre l'œil et l'occiput, un peu perdu dans la masse grissatre et liquide (qui n'a jamais vu de cerveaux, à rater quelque chose, et qui en a disséquer un, peu se sentir... plus flasque).
c'était il y a deux ans, peu être trois, je n'est jamais eu assez de doigts pour compter juste. C'était et sa n'est plus. J'était plus jeune qu'alors et je m'appliquais. il y avait un poisson qui passais et repassais sous mon nez, le Napoléon (qui ne connais pas le Napoléon du bassin au requin de Nausicaa à boulogne-sur-mer loupe un voyage coloré...). Le Napoléon avait una mi, la murégne, mais autant lui paradais autant elle se cachait et les requin silencieux glissais prés des amoureux... moi, je restais immobile, par terre, une main pour garder ma page, une main pour toucher mes cheveux. Le banc de poissons aussi happais souvent le Napoléon qui roayl au milieu de ces dame paradais joyeusement. La muréne tristement sur son doux rocher sombre attendais son amant... Mais la vitre se brisât ne mille éclat soleil sur ma robe de moire... et le soleil éclat à déchirer la robe, et le poisson enfin son partis par la porte s'enfonçant dans l'abime d'un rêve qui s'efface... seule la murène immobile me regardait encore dans son bocal géant. Je m'était égarer, et elle... m'avait trouver. Son beau Napoléon un jour me l'enleva. je m'était endormis au pied de l'arc en ciel, au pied de l'aquarium.