Marie avait un sac, lulli un post.

je me souvient j'avais trois ans
sa n'était pas moi mais mon frère
enfin de toute façon sa n'était ni moi ni elle
ni lui non l'autre
trois ans donc
trois ans toutes mes dents
de sagesse
j'avais trois ans pour de rire
pour de faux
pour d'être
trois ans comme d'autre en on vingts
j'avais trois ans
et je m'aimait autant qu'il est possible
c'est à dire peu



quoi qu'il en soit, j'ai laisser dériére moi toute mes farandole
mes désir en perle de délire
mes rires et mes chamaillerie
j'avais quater ans et des poussières
j'était vieille
je pouvais mourir
et je suis morte

un jeudi
comme d'autre prirent la mer
un mardi matin.

le jour d'après la veille de se jeudi
il faisait frois
pageno chantais déjà
et papagena arrivais toujours
sur la fin
et d'hivers à printemps
les saisons passais...

te souvient tu ?
la reine de la nuit
hantais de sa voix aigue mon frére à la voix grave
il chantais juste
il la chantais.

j'aime bien , ça me transporte dans un nouveaux univers...

https://www.youtube.com/watch?v=OL7YF0Djruk

https://www.dailymotion.com/relevance/search/papageno/video/x1klh8_papageno-et-papagena_music

voici deux versions (même si la seconde est plus longue et commence avant...)
papageno à désobeï... il a adresser la parole à papagena au moment ou il ne falais pas, désespérer, il veut se pendre... mais trois "fées" lui rappelle qu'il possédents des clochettes pour l'appeller... et papagéna arrive enfin ! le premier débute là, le second débute au niveau de la tentative de suicide de papageno...

bien sur, c'est morceaux sont à écouter yeux fermer même si les chanteurs sont marant et les mises en scéne bucolique !


papapapapapgeno
papapappapagena !


la flute enchantée, encore, encore, encore...
mon frère chez le medecin devait chanter et n'a réussi à se souvenir que de la reine de la nuit (autre partis de cette opéra) ! d'ou alusion au dessu...

raa la caille ! papageno et pagena, la reine de la nuit, la flute enchantée en entier est un pan de ma vie !

il se trouve que c'est l'explication du texte (c'est rare que je puisse en doner d'aussi clair rire).

il faut écouter les yeux fermer cette opéra de Mozars (lisez l'histoire quand même een français si vous vouler comprendre...) et sa nous transporte ! c'est inévitable (pas ces version si dont je n'est aucune idée de leur qualité !)

fatigué il est
fatigué de jeunesse
de jeune temps
et de...
fatigué il pense
fatigué pourquoi ?
il se perd
dans les méandre
est-ce travail
est-ce manque ?
fatigué il dis
oui, fatigué
et il se heurte
sans cesse
dans l'infinie de ces nuits
longue en langueur
il est fatigué d'être
fatigué, sa résonne
dans le vide
certes fatigué
d'attendre
manque de...
en manque il est
en manque...
d'une main sur son bras
qui monte lentement
en manque...
d'une bouche dans son cou
qui papillonnerai
un sourire
un pied qui frôle son genoux
des bras collier de perle
des doigts en découverte
de cil qui danse
en manque...
de rêve et de réaliter
fatigué de...
en manque...
il est
mais le temps lentements
passe et change...
tout l'entraînera
tout...

Cacaille a écrit:

C'est jolie!!
Comme d'ab on s'y croirais...
Prend donc une couverture rouge ou bleu et va faire un calin sur un clic-clac cela fait toujours du bien!

ce que j'aime chez sa seigneurerie, c'est qu'il a ce merveilleux et rare don de resumer et d'apprecier les saintes ecritures de lulli en quelques mots efficaces...

heu, non non je garde mon clicclac et mes couverture (non mais là quand même !) et puis se petit texte est pas autobiographique c'est une comande. et ouaip.

enrubaner de soi j'espérer voir son nom dans la neige trop froide mais n'est vu que le chat qui tourner toure encore dans le chaud de son pelage sombre, sur blancheur, j'ai froid et j'ai trop chaud, ou est il ou est tu ? tout se perd, je ne suis que le parfum suave de l'atente dans le vent qui m'éparpille

y'a des moment comme ça où... on ne comprend plus...
avant, avant on pensais comprendre et puis là
tout deviens flous...
flou mais sans âme, je ne sais plus, je ne sais déjà pas...
l'âge sur la branche des non-sens rit de moi
tu divague vague, vague à l'âme
di di di vague et vent tuera.
sa te tuera à force de sur-vivre
et une fois morte t'aura l'air con
fillette de fausse porcelaine sanglante et sanglotante
je suis peu être plus de se monde déjà
un pied dans le vrai, un pied dans le faux
des rêves comme autant d'étoiles qui brille dans mon ciel de nuage bas et gris
la pluie est douce sur mes joues
je sais que je digresse
transgresse
graisse
informe
je suis et je n'arrive plus à comprendre comment je peu rêver encore
rêver de quoi ?
que l'on comprenne se que moi je ne pige que trop ?
que l'on m'extirpe de ma propres folie ?
que mon existence se reflète dans l'œil terne d'un autre ?
qu'il pense pouvoir m'aider ?
aider
s'aider...
J'étais née pour aider.
mais depuis quelques mois,
je ne sais plus le faire
ni pour elle, ni pour d'autre, alors pour moi même...

Wah... je sais pas quoi dire en fait, a part que j'ai deja ressenti ca...

Code:

y'a des moment comme ça où... on ne comprend plus...

Oui, et du jour au lendemain cela peut vous tomber dessus, là comme ça sans crier gare. Et je sais à quel point c'est douloureux ...

douloureux ?
certes, mais c'est porteur aussi
ne pas comprendre, lachez prise
pleurer
enfin sans bras pour nous soutenir
en boule dans mon lit vide d'autre gens que moi même...

pleurer
sourire
s'endormir
se réveiller les yeux douloureux
se souvenir
se moquer de soi
être

quite à être triste